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samedi 28 juillet 2012

ÎLE DE HOËDIC


HOËDIC
209 hectares
Longueur: 2.5 Km
Largeur: 1.0 Km
LE TOUR DE L’ÎLE FAIT ENVIRON 10KMS 


Hoëdic est comme une fleur : naturelle et délicate, fragile et vivante, sauvage et raffinée, expressive et inspirante. Comme le lys maritime qui pousse sur ses dunes grises, la centaurée qui colore ses pelouses littorales et les roses trémières qui enchantent ses jardins, l'île semble avoir été créée par un poète. Hoëdic est couleurs, Hoëdic est senteurs, Hoëdic est aussi douceur. Celle de ses plages de sable blanc qu'on foule pieds nus, de ses galets polis par l'océan, de son soleil caressant et de ses températures clémentes.






HOËDIC est déjà habité durant la préhistoire ainsi que l'attestent les nombreux menhirs, dolmens et autres vestiges que l'on trouve en parcourant l'île. Mais après le passage des Vikings, vers l'an mil, les îles du Morbihan sont toutes désertées.
Au 11ème siècle le duc de Bretagne dote l'Abbaye de Saint- Gildas d'immenses propriétés dont les îles d'Hoedic et de Houat. Les moines y installent alors quelques familles de paysans de la presqu'île de Rhuys. Elles y feront souche, survivant de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche, dans des conditions précaires mais qui, à l'époque, sont celles de toute la population du littoral breton. Saint Félix, le fondateur de l'abbaye de Rhuys, a pour compagnon Goustan qui deviendra patron d'Hoedic... mais à la fin du XIXème siècle seulement.


le fort  qui a été transformé en gite d'étape on peut y passer la nuit en dortoir pour 13 euros! 
Le conservatoire est propriétaire du Fort et de 37 hectares d'espaces naturels fragiles d'Hoedic.


À la suite des invasions répétées sur le littoral et les îles, par décision royale de Louis XIV, une série de forts militaires, tours et batteries, est construite par Vauban. Une carrière est ouverte dans l'île, qui fournit les pierres des murailles. Le premier fort est circulaire et situé comme aujourd'hui sur la partie la plus haute de l'île vers le nord-est et le sud-est, permettant une surveillance et des tirs en direction de la passe du Croisic et vers Belle-Île-en-Mer. Le commandement dépend de la citadelle de Belle-Île-en-Mer. En 1693, la population, fuyant l'invasion anglaise, peut ainsi trouver refuge dans les fortifications. En 1746, les Anglais investissent de nouveau le fort et le font sauter. Louis XV le fait reconstruire. En 1759, avant qu'il ne soit achevé, les Anglais le reprennent. Le fort sera de nouveau remanié en 1848, après une décision de Napoléon Ier. Il appartient aujourd'hui au Conservatoire du littoral et est géré par la mairie.





































































Long de 30m et large de 8, le Melvan a une capacité de 234 passagers pour une vitesse de 16,5 nœuds.

2 commentaires:

Unknown a dit…

Très belle invitation au voyage, mais où sont les hémérocalles?

caroline a dit…

c'est vrai que j'en est pas vu sur l’île !